Le seigneur parle par un murmure doux et léger

La rivière Bulstrode à Victoriaville

Nouveaux Mariés

Né en 1941 à Mâcon, Saône et Loire, en France, Olivier Denis à vécu très jeune à Marseille, à Bordeaux puis à Paris. Olivier ne se sent pas lié par une méthodologie appartenant à une école particulière. Olivier décide à l'âge de 15 ans de devenir graphiste. Il s'inscrit au lycée d'enseignement professionel d'art graphique à Paris. IL fait ensuite son service militaire en Allemagne, ou il perfectionne un talent de trompettiste (dans une armonie militaire). De retour en France, il réalise la mise en page d'une revue annonçant les programmes de la radio et de la télévision scolaire de l'institut pédagogique national, à Paris. À la recherche de nouvelles sources d'inspirations, il s'embarque sur un paquebot qui le mène au Québec, en novembre 1965, puis travaille comme graphists pour le studio Guy Lalumière, à Montréal. Il complète ensuite sa formation musicale de trompettiste à l'école Vincent d'Indy et sera reçu en 8e année. Il épouse Thérese, une québecoise et retourne, avec elle, en France en juillet 1968. Il redécouvre Paris, y poursuit ses étude en musique, puis reprend le métier de graphiste à Strasbourg pour la brasserie Kronenbourg. Il devient père de Roxane, sa première fille. Après quoi, il déménage à Ormoy, un village dans le département de l'Yonne, toujour en France. Devenu propriétaire d'une ferme, il se consacre à l'élevage du lapin. Puis sa deuxième fille,Camille, voit le jour. La famille éclate et c'est le retour au Québec. Il travail de nouveau comme graphiste, pigiste, illustrateur (littérature enfantine, livres de biologie). Déçu par son métier, il décide, en 1991, de se consacrer à la peinture acrylique. Il s'inspire surtout des visages, ses filles, ses ami(e)s dans lesquels il cherche les palpitations de la vie, sans oublier la nature parfois présente dans ses toiles. Afin de se rapprocher de ses filles, il a quitté Montréal, en mai 2007, pour Victoriaville. Elles demeurent à St Adrien de ham, à 35km.

Nous avons la chance de vivre sur la terre et nous avons la connaissance du bien, du mal, et du libre arbitre. Choisir le bien, c'est choisir la joie, la paix. Par mon oeuvre je veux aider mes admirateurs à cette découverte. C'est ma préocupation. La beauté de la nature mérite d'être représentée fidèlement. Je n'ai pas la prétention de faire mieux que la nature divine. La morale n'est plus à la mode. Ma production se dirige vers la représentation du bon exemple (où parfois du mauvais, qu'il ne faut pas faire). J'ai choisis l'acrylique parce que c'est un procédé nouveau et la découverte m'attire. Ma démarche artistique est le désire de mener mes admirateurs aux mieux êtres.