Montréal, le 6 mai 2009
Un gala en arts visuels… à guichet fermé. C’est devant un auditoire d’artistes-peintres et sculpteurs des quatre coins du Québec et d’Europe, de galeristes et d’amateurs d’art réunis pour le Gala «ACADEMIA XXI» de l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec que Louis Bruens a été honoré par l’Assemblée nationale représentée par monsieur Claude Cousineau, député du comté de Bertrand, accompagné de monsieur Maka Kotto du comté de Bourget. La médaille de l’Assemblée nationale du Québec lui a été remise de façon exceptionnelle, au Musée des beaux-arts de Montréal, ce samedi 2 mai 2009, pour une vie entièrement dédiée aux arts visuels.
C’est sous une salve d’applaudissements que Louis Bruens a tenu son discours officiel qui portait sur l’Art et la culture.
Bonsoir mesdames, bonsoir mesdemoiselles, bonsoir messieurs… et… bonsoir les autres. Dans l’excellent magazine «L’actualité» du mois de mars dernier, j’ai lu un article très édifiant, sous la plume de Pierre Fortin, professeur d’économie à l’Université du Québec à Montréal. Il nous apprend que, en 2008, 118 800 personnes étaient actives dans l’industrie culturelle, au Québec seulement. Il nous dit encore que cette même année, les travailleurs culturels ont produit une valeur ajoutée d’environ 10 milliards de dollars.Il ajoute et je cite : «On peut estimer à environ un milliard, trois cent millions de dollars, au total, l’appui fédéral et provincial à la culture québécoise». Il nous détaille, sa répartition de la population active dans l’industrie culturelle au Québec, en 2006.
Édition (Livres, journaux, périodiques, logiciel) | 23 600 personnes |
Films et enregistrements sonores (films, vidéos, disques) | 17 200 personnes |
Radio et Télévision | 12 300 personnes |
Auteurs, artistes, interprètes indépendants | 11 800 personnes |
Art d’interprétation (Théâtre, musique, chant, danse) | 11 500 personnes |
Bibliothèques et archives | 8 300 personnes |
Librairies (Livres, périodiques, disques) | 6 300 personnes |
Patrimoine (musées, lieux historiques, jardins) | 6 900 personnes |
Autres (design, architecture, artisanat, multimédia, Publicité, etc.) | 20 900 personnes |
Et voilà donc le total de 118 800 travailleurs culturels. |
Monsieur Pierre Fortin prend vraiment la défense de notre culture dans les dernières lignes de son article en écrivant, et je cite :
« Il n’y a pas dix solutions possibles, mais seulement deux : ou nous continuons à appuyer financièrement notre culture ou bien nous la regardons disparaître. Il faut choisir »
Mais il n’est pas fait mention, dans sa liste, de travailleurs en arts visuels.
Quoi que vous regardiez à la télévision, ou que vous lisiez dans les magazines et les journaux, jamais, au grand jamais, vous n’entendrez ou ne verrez deux termes bien précis : Peinture et sculpture, à part quelques magazines spécialisés.
La peinture et la sculpture ne semblent pas faire partie de la culture au Québec. Pourtant, dans les dix milliards énoncés pour 2008, vingt pour cent provenaient Naturellement des arts visuels, directement et indirectement. Soit approximativement 2 milliards $.
Au cours de la dernière année, on nous a rabattu les oreilles au sujet de la crise financière, cette crise bien préparée depuis 2006 au profit de quelques grands escrocs de ce monde. Mais, chose paradoxale, au deuxième rang des questions les plus parlées, venait… la culture.
Vous a-t-on déjà donné une définition compréhensible de la culture?
La culture se résume en un seul mot : la connaissance. Donc, Plus on connaît, plus on est cultivé. Acquérir de la culture c’est lire, entendre, voir, écouter et surtout… penser. Naturellement, la culture se subdivise en un grand nombre de facteurs et se manifeste de diverses façons : par la langue, l’esthétique, l’histoire, les sciences, la philosophie et les modes… enfin tout ce qui est humain. Mais, dans toutes les nations du monde, il est un objet prépondérant, vraiment majeur dans les cultures, ce sont les arts. On reconnaît souvent la culture particulière d’un pays à la forme d’art qu’il projette à travers le monde. Tel pays est connu pour sa musique, tel autre pour sa littérature ou sa technologie, son théâtre ou sa religion, etc.
Pour développer sa culture, un peuple a besoin d’être renseigné très tôt dans sa jeunesse, c’est-à-dire dès l’école primaire.
En ce qui concerne les arts, faites donc une expérience. Demandez à un élève de deuxième secondaire de vous citer trois noms d’artistes-peintres et trois noms de joueurs de hockey. Vous voyez ou je veux en venir.
On nous parle souvent et depuis plusieurs années de décrochage scolaire. Certains petits génies du gouvernement ont avancé l’idée que pour abaisser le pourcentage de décrocheurs, il serait intéressant de sensibiliser les jeunes du secondaire au Hockey. C’est quoi, cette idée farfelue? Personne n’a donc pensé à sensibiliser les jeunes aux arts. Je peux pourtant vous assurer que les enfants, même les supposés mauvais élèves, déjà au primaire, portent un intérêt au dessin, à la musique, au chant, à la comédie, à la sculpture et surtout à la peinture. Au printemps 2008, nous avons, donné, mon épouse, Caroline et moi, une conférence de deux heures dans une école de Ste-Marguerite, dans les Laurentides.
En projetant sur grand écran des tableaux de tous les genres, figuratifs, semi-figuratifs et abstraits, d’artistes anciens et actuels. Il suffit de regarder les photos sur l’écran pour constater leur attention, leur intérêt et leur participation à chaque question posée. Il y a vingt ou trente ans, je faisais déjà ce genre d’exercice avec des enfants et des étudiants et, chaque fois, j’étais très surpris de leurs réactions tellement positives et l’intelligence de leurs questions.
Si, dans nos programmes scolaires, on ajoutait un cours de culture artistique, on découvrirait très vite que nos enfants veulent savoir, toujours plus. Et dans le futur, on ne pourrait plus accuser les parents d’être responsables du décrochage de leurs enfants, car ces derniers seront intéressés à des matières différentes, des matières qui ne leur sont, jusqu’à présent, jamais proposées. Voilà où se trouve la naissance de la culture.
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UNE SURPRISE DE TAILLE ATTENDAIT LOUIS BRUENS
La médaille de l’Assemblée nationale du Québec lui fut remise lors du Gala.
Monsieur Claude Cousineau, député du Comté de Bertrand, comté où se trouve le siège de l’Académie, accompagné de M. Maka Kotto député de Bourget, s’est adressé au public en ces termes, pour présenter ensuite à monsieur Bruens la médaille de l’Assemblée nationale du Québec. Cette cérémonie s’est tenue au Musée des beaux-arts de Montréal, de façon exceptionnelle, lors du Gala ACADEMIA XXI.
«Né en Belgique en 1928, Louis Bruens arrive au Canada en 1956. Écrivain d’art, historien et vulgarisateur, il a publié 17 livres d’art sur les peintres québécois. Par ses ouvrages, il a révélé les secrets du marché de l’art et de l’investissement rentable dans les œuvres de nos artistes. Il a su guider et former plusieurs générations intéressées à découvrir et à approfondir l’univers de la peinture. Tour à tour, photographe, marchand de tableaux, courtier International, expert-conseil, conférencier, cinéaste, cet homme-orchestre, mentor de plusieurs directeurs de galeries d’art, d’associations d’artistes et de collectionneurs, fonde l’Académie internationale des Beaux-Arts du Québec dont les retombées culturelles sont à la mesure de ses rêves. Ce tremplin lui permet enfin de présenter SES ARTISTES au monde, de former de jeunes esprits, d’éveiller leur conscience, par le partage de ses connaissances et de sa vision universelle, ce qu’il a toujours fait avec une grande générosité.
L’œuvre de Louis Bruens est reconnue comme faisant partie intégrante de notre patrimoine culturel, son action a permis à des milliers d’artistes d’être connus et reconnus à travers le monde.
Monsieur Bruens, j’ai le plaisir et l’honneur de vous remettre la médaille de l’Assemblée nationale du Québec à titre de pionnier, de bâtisseur et surtout de visionnaire de l’avenir des arts et de la culture de notre société québécoise. C’est au nom des artistes dont vous avez su conquérir le cœur depuis votre arrivée au Québec, en 1956, que vous êtes honoré aujourd’hui. Comment faire le tour d’un tel parcours, d’une telle démarche et d’une si riche expérience, enfin d’une vie entière consacrée aux arts et aux artistes?»
Luc Lefebvre, maître de cérémonie, a salué l’assemblée avec enthousiasme, il a invité ensuite Linda Dubois et Brigitte Leclerc à nous interpréter la chanson traditionnelle d’ouverture : Et bonjour à toi l’artiste! Sur une présentation des photos de nos artistes-peintres et sculpteurs.
(Sur des paroles de Pierre Delanoë et une musique de Jeff Barnel)
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Puis Louis Bruens, à peine remis de ses émotions, a pris le soin de présenter de façon humoristique et personnelle la personne qu’il connaît le mieux, son épouse Caroline.
«La culture est ce qui nous reste quand on a tout oublié… Tous se souviendront de vous, car vous êtes inoubliables. Vous faites partie de l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec et du grand mouvement des arts visuels de la première décade de ce siècle : L’ACADEMIA XXI. Vous êtes immortalisés, vous faites déjà partie de l’Histoire de l’Art.
J’éprouve une réelle émotion à vous voir ainsi réunis pour notre gala, et je vous souhaite de passer une excellente soirée.»
Le MC a ensuite présenté le Grand maître et les maîtres-académiciens en expliquant à l’assistance la façon de procéder des jurys, puis les tableaux des maîtres Charles Carson, Jacques Hébert, Jean Letarte, Roland Palmaerts et les académiciens-conseils Diane Forest, Réjean Gilbert, Michel Lapensée, Cezyl Testeau, Jean-Marie Laberge et Humberto Pinochet ont été présentés.
Le maître de cérémonie a ensuite expliqué le rôle et l’application des tables de critères établies par Louis Bruens ainsi que la composition des jurys.
La parution d’un nouvel ouvrage : LE MONDE DE LA COULEUR, par maître Roland Palmaerts, se trouvant en Belgique pour le gala a été présenté. La sortie de l’ouvrage pour la mi-juin a été annoncée par Caroline Bruens.
«L’artiste international Roland Palmaerts nous fait partager avec humour, sensibilité et pragmatisme, le produit de sa longue expérience sous la forme d’une méthode innovante de classification des couleurs en 3 familles :dans un nouvel ouvrage : LE MONDE DE LA COULEUR. Bravo à maître Roland Palmaerts.»
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Le grand maître, Umberto Bruni, fut invité à présenter Francine Gravel à le rejoindre sur la scène.
LOUIS BRUENS : «Maître Bruni a été le professeur de Francine Gravel, à l’École des beaux-arts de Montréal, il est la source de son succès. Francine Gravel a été nommée artiste de l’année, en 2007.
Je dois ajouter qu’elle est ambassadrice nationale de l’Académie. Elle a représenté l’Académie, à maintes reprises. Invitée spéciale lors de la réception du Prince Philippe de Belgique en Colombie-Britannique, elle est aussi récipiendaire de plusieurs Prix prestigieux, raisons pour lesquelles elle est nommée académicienne-conseil.»
UMBERTO BRUNI : Francine Gravel, c’est avec plaisir que je vous remets aujourd’hui le parchemin officiel qui vous reconnaît le titre d’académicienne-conseil.
CAROLINE BRUENS : Muriel Cayet, qui réside en France, portera dorénavant le titre d’académicienne-conseil, elle aussi.
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Michel Colin - Martine Gauthier du Balzac - Thérèse Radel-Cassin
LE «PRIX PLATON» est une mention d'honneur accordée par l'Académie à des artistes en devenir dont l'évolution est remarquable, et qui ont eu la faveur d’un jury pour une œuvre particulière. Ne perdons pas de vue qu’un artiste en devenir est naturellement en début de carrière.
Les œuvres MISES EN NOMINATION dans la catégorie « ARTISTES EN DEVENIR » concourant pour le PRIX PLATON SONT : Monique Bergerot (Mija) - Josette chalifoux - Ginette Lambert - Thérèse Radel-Cassin - Alix Rey et Monique Vanier
La présence de Madame Radel-Cassin, membre de l’Académie, qui est venue spécialement de France pour le gala a été soulignée et applaudie.
Puis les gagnants ont été nommés par Madame Francine Gravel.
Dans la catégorie « ARTISTES EN DEVENIR », le jury a sélectionné 3 œuvres qui méritent le PRIX PLATON. Les auteurs de ces œuvres ont été choisis pour leur constance et leur évolution artistique.
Les gagnants sont… en 3e place… Madame Thérèse Radel-Cassin
En 2e place… Josette Chalifoux
Et la première place revient à … Ginette Lambert
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Le «PRIX AKADEMOS» est une distinction accordée à des artistes professionnels de la relève. Les œuvres mises en nomination pour les prix «AKADEMOS» ont été présentées, et reconnues par un jury, comme des oeuvres de qualité.
Monsieur Michel Lapensée, académicien-conseil, a fait la présentation comme à chacun des galas et nous le remercions de sa collaboration.
Les œuvres suivantes ont été mises en nomination dans la catégorie «artiste professionnel de la relève» concourant pour le Prix Akademos : Patricia Bellerose - Lyse Boily - Francine Bouchard - Martine Larochelle - Johanne Molaison - Linda Morin - Sylvain Poirier et Vanessa Roberge
la mention d’honneur récemment délivrée à l’artiste Éric Cardoso par la fédération nationale des peintres et sculpteurs de France, félicitations à Éric cardoso.
Puis, Michel Lapensée a prié les artistes nommés à le rejoindre sur la scène.
Dans la catégorie « ARTISTE PROFESSIONNEL DE LA RELÈVE » les gagnants sont:
En 3e position … Francine Bouchard
En 2e position … Martine Larochelle
Et en première position la gagnante du Prix Akademos est….Vanessa Roberge
C’est au son du gong que le prix d’une valeur de 1000 $ de l’atelier Gicl’art, a été remis à Vanessa Roberge, gagnante du PREMIER PRIX AKADEMOS.
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Puis LOUIS BRUENS a présenté maître Jean Letarte. Un court métrage réalisé entièrement par maître Letarte a été présenté aux spectateurs, pendant que ce dernier filmait le gala.
«J’aimerais bien inviter maître Letarte à présenter des membres de l’Académie qui ce sont distingués… mais … il est aujourd’hui… derrière sa caméra, il est là sur la droite. J’en profite pour souligner son implication au sein de l’Académie. Le film que vous venez de voir est son œuvre tout comme le film doux souvenirs 2007 que nous vous avons présenté au début du gala. Il a tout simplement pensé à faire, gracieusement, comme toujours, un coup de chapeau à tous les membres de l’Académie. Il n’est plus tout jeune… de l’expérience il en a… mais, il est malgré tout… encore … bien plus jeune que moi.
Jean Letarte vit l’image, il la crée et il la communique à chaque instant. Que ce soit, du dessin, de la peinture, de la sculpture ou de la gravure, rien ne lui échappe… et il mérite vraiment vos applaudissements.»
Il parvient à réaliser un portait de qualité, tant à l’huile qu’au pastel d’ailleurs, car il possède bien plus que la connaissance de la simple technique, il donne la vie à ses personnages. Denis Jacques use d’un medium qui a fait ses preuves dans le temps. Saviez-vous que le pastel existe depuis la fin du XVe siècle? Léonard de Vinci l’utilisait déjà, les impressionnistes aussi, car c’est un médium facile à transporter. On se doit de conclure que les œuvres de Denis Jacques seront encore admirées dans plusieurs siècles.
Denis Jacques a été président de l’Institut des arts figuratifs, dont il est encore membre d’honneur et reconnu maître de la Société de Pastel de l’Est du Canada. Il est un des artistes sélectionné pour réaliser des portraits des maires de la Ville de Québec et ceux des présidents, des ministres et des députés du Parlement du Québec. Il s’est illustré, année après année, dans nos réalisations littéraires et au sein de l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec, qui lui confère aujourd’hui le titre de Maître Académicien.
Je vous rappellerai dans quelques siècles pour admirer les œuvres de Denis Jacques à ce moment-là… si vous êtes encore là, vous aussi…
Denis Jacques, nous avons le plaisir de vous annoncer qu’à partir de cet instant vous portez le titre mérité et honorable de maître-académicien, c’est à ce titre que vous représenterez dorénavant l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec.
Maître Denis Jacques et Caroline Bruens ont ensuite présenté les gagnants du «PRIX ATHENA» prix ayant été créé pour reconnaître le talent de plusieurs artistes professionnels. Les 3e – 2e et 1ere positions ont été annoncées pour les œuvres figuratives et aussi pour semi-figuratives ou abstraites.
en peinture figurative
Une des toiles de Juli a été sélectionnée pour une exposition internationale à Bruges en Belgique! En exposition à la galerie du Beffroi du 13 au 19 mai 2009.
Et je cite Juli :«… dire que mes toiles traversent l'océan avant moi…»
En peinture semi-figurative OU non-figurative
En peinture figurative :
En peinture semi-figurative OU non-FIGURATIVE :
Le Premier Prix ATHÉNA figuratif va à : …Andrée Vézina
Et le 1er prix ATHÉNA semi-figuratif OU NON FIGURATIF est gagné par : Manon DesjardinS
Puis ce fut au tour de Jean-Marie Laberge, académicien-conseil, d’être invité sur la scène.
par Louis Bruens
Jean-Marie Laberge est né à Chicoutimi. Après ses études en art à l’Université de Montréal, il enseigne quelque temps au Québec pour se retrouver durant sept ans en Afrique centrale. Il passera ensuite une année à Londres, où il se perfectionnera en portrait, peinture et sculpture. Mais, c’est à Washington qu’il obtient une maîtrise en arts plastiques et une majeure en sculpture.
Dessinateur et peintre de grand talent, c’est en 1972 qu’il choisit la sculpture comme mode d’expression. Soulignons qu’à cette époque, et pendant dix ans, il a créé bon nombre de murales en aluminium coulé à froid, en général abstraites ou surréalistes.
Bien qu’il excelle en anatomie, Jean-Marie Laberge ne reculera jamais devant la création de tous les sujets auxquels il porte attention, qu’ils soient classiques ou modernes, et ce, sans aucune restriction. Ce créateur possède un sens très particulier des formes en trois dimensions. Chacune de ses sculptures est invariablement habitée d’une élégance de formes peu communes. Il suffit de regarder Jean-Marie Laberge s’exécuter au cours d’une de ses performances publiques, avec modèle vivant, ou encore d’admirer ses instruments de musique en bronze, pour nous convaincre que nous sommes devant un artiste de haut calibre. Les thèmes favoris de cet artiste sont LA FEMME, L’OISEAU et LA MUSIQUE. Quand on sait combien d’efforts complexes et laborieux sont exigés pour poursuivre durant toute la vie une carrière de sculpteur, et ce, dans le but d’atteindre les plus hautes qualités, on se doit de porter à ce nouveau maître académicien une grande admiration et un profond respect.
Monsieur Jean-Marie Laberge… J’ai le plaisir de vous annoncer qu’à partir de cet instant vous portez le titre mérité et honorable de maître-académicien, c’est à ce titre que vous représenterez dorénavant l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec.
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Il fut ensuite invité à remettre les «PRIX SCULPTURA» distinction, accordée par ses pairs à un sculpteur professionnel. Voici la sélection du jury : Geneviève Forest - Margo Genest - Gaëtan D'Arcy - Édith Béland - Dominique Dijoux - Hermine - Myriam Laurent - Micheline Masson - Daniel P. Simard
DANS LA CATÉGORIE SCULPTURA LES LAURÉATS SONT :
…En 3e position…, nous retrouvons Gaétan D’Arcy
…En 2e position Margo Genest
…Et le PRIX SCULPTURA, est donné à … Geneviève Forest
Bravo à Geneviève Forest, se consacre à la création. Geneviève Forest a présenté aux jurys 7 personnages en bronze : Le pouceux - la quête - la folle - la rieuse - l'affalée - bain de soleil - le tailleur.
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Membre signataire de l’Institut des Arts figuratifs, elle est aussi membre associée de la Société Nationale des beaux-arts en France.
Lyse Marsan vit, respire, bouge, s’agite, cherche et s’éclate autant dans la couleur, dans la peinture, dans la sculpture que dans la poterie et même dans le chant et la musique.
Cette artiste, imaginative à souhait, a l’art de transformer n’importe quel objet, surtout pour lui attribuer un sens nouveau et le baigner de sa poésie. Ses installations sont elles aussi très caractéristiques de sa créativité et de son besoin de pousser plus loin la frontière de la difficulté.
Parler de l’éventail des occupations artistiques de Lyse Marsan, du groupe d’artistes qui lui tient à cœur, du musée Marius Barbeau, des conférences et de ses nombreux voyages pourrait prendre des heures… Sa nomination de maître-académicienne est bien méritée.
Je prendrais des heures à parler de Lyse Marsan, que j’invite à venir sur la scène pour recevoir le titre de maître-académicienne.
Madame Lyse Marsan, nous avons le plaisir de vous annoncer qu’à partir de cet instant vous portez le titre mérité et honorable de maître-académicienne, c’est à ce titre que vous représenterez dorénavant l’Académie.
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MAÎTRE LYSE MARSAN A ENSUITE PROCÉDÉ À SA PREMIÈRE REMISE DE PRIX À CE TITRE : Pour les Prix de la thématique «Le Futur idéal»
Le 3e Prix est accordé à …. Brigitte Savoie
Le 2e prix à … Florence Dionne
Et le PREMIER PRIX FUTUR IDÉAL est remis à… Danielle Richard
Ljubomir Ivankovic est originaire de Serbie. À l’âge de quinze ans, il étudie quotidiennement le dessin anatomique et la peinture, de longues années plus tard il obtient un doctorat en beaux-arts à l’Université de Belgrade.
Après Belgrade, on le retrouve à Paris où il étudie la gravure, une technique qui existe depuis des siècles, à savoir l’eau-forte et la lithographie. Devant son talent inaliénable et ses qualités personnelles, le gouvernement français lui accorde une bourse de résidence d’un an en France.
Ljubomir vit au Québec depuis 19 ans, ayant placé ses priorités dans la peinture d’art depuis quarante ans, sa formation académique avancée l’a amené à poursuivre sa vocation de professeur d’art, il a d’ailleurs des étudiants, artistes professionnels, un peu partout dans le monde. Il désire toujours transmettre les valeurs apprises à l’Académie.
Aujourd’hui, tous les sujets sont matières à expression pour cet artiste qui passe des personnages aux paysages, profitant de son monde imaginaire pour nous livrer la magie de sa pensée en usant de tous les médiums, acrylique, pastel et huile.
Dans la lignée des maîtres européens, Ljubomir Ivankovic s'est mérité plusieurs prix et distinctions sur la scène internationale avec ses tableaux, ses gravures et ses dessins qu'on retrouve dans plusieurs collections privées au Canada, aux États-Unis, en Argentine, au Japon, en République tchèque, en Pologne, en Norvège, en Allemagne et en Espagne.
C’est pour toutes ces raisons que Ljubomir Ivankovic reçoit aujourd’hui le titre de maître-académicien de l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec.
Monsieur Ljubomir Ivankovic, nous avons le plaisir de vous annoncer qu’à partir de cet instant vous portez le titre mérité et honorable de maître-académicien, c’est à ce titre que vous représenterez dorénavant l’Académie.
QUELQUES MOTS SUR LE ARTACADEMIE.TV
Nous avions annoncé la sortie de ArtAcademie.tv. Nous avons réalisé depuis, 47 vidéos actuellement présentés sur le site de l’Académie. Au cours des mois qui viennent, vous aurez le plaisir de suivre le développement du projet en cours, de voir d’autres entrevues, des chroniques sur le sujet du marché de l’art, de la formation et de l’actualité… concernant les arts il en va de soi.
DERNIÈRE HEURE DE ROUMANIE
Puis une le M.C. a présenté un communiqué à Caroline Bruens : Je reçois à l’instant un communiqué de dernière heure, en provenance de la Roumanie… pour Caroline Bruens.
CAROLINE BRUENS : Je vous lis le communiqué
«Chère madame Bruens,
J’ai obtenu la permission d'inclure dans le dictionnaire de la francophonie canadienne des articles sur l'art du Québec. Il s'agit d’articles sur des artistes, mais aussi sur des critiques d'art.
La directrice a retenu mes propositions concernant : Charles Carson – France Beaulieu Pierre Labrecque - Micheline Caille - Louis Bruens - Caroline Bruens, ainsi que L'Academie Internationale des Beaux-Arts du Québec.
Par le biais de l’académie, les artistes nommés feront partie d’un ensemble d’artistes de qualité, dans le Dictionar de francofonie canadiana.
Il y a quelques années, Marilena Dracea m’écrivait pour obtenir des détails biographiques au sujet de la carrière d’artistes-peintres et sculpteurs étrangers, installés au Canada. Elle désirait étoffer sa thèse de doctorat en art. Je lui ai donc envoyé, à cette époque, des dossiers d’artistes, ainsi que plusieurs livres de Louis Bruens. Elle nous renvoie l’ascenseur aujourd’hui… en nous annonçant une bonne nouvelle : Notre Académie fera partie du dictionnaire … en Roumanie et Marilena participera à l’Académie par ses chroniques.
Humberto Pinochet a grandi dans une famille d'artistes. Étudiant à l'Université catholique de Valparaiso, à la faculté d'Architecture et à l'École de design graphique, il est également diplômé de l'École des arts visuels de l'université Laval.
L’artiste s’est démarqué dans plus de 75 expositions au Canada, en Amérique du Sud, aux États-Unis et en Europe. L’Académie Mazarine de France le nomme membre d’honneur à vie pour son habileté et son dévouement aux Arts.
Le monde intérieur d’Humberto Pinochet se découvre dans ses compositions structurées. Les scènes de genres, de rues achalandées, de bars à la mode, tout est prétexte à la réalisation de tableaux, dans lesquels l’humaniste se révèle. L’artiste interprète aussi la nature dans ses paysages ou ses marines particulièrement réussies. Son ambition est simple et difficile à la fois… user d’une écriture picturale dépouillée des détails inutiles, tout en préservant un maximum de lumière. La sonorité de ses tableaux est due à sa palette très colorée, riche héritage de son enfance.
Cet artiste est un chercheur qui ouvre son monde de façon très chaleureuse et combien généreuse à qui lui porte attention. Quant Humberto Pinochet parle de peinture… le temps s’arrête, sa passion, sa verve et sa culture font le bonheur de ses invités lorsqu’il raconte ses histoires de peinture, elles sont généralement empreintes de son rire si particulier.
Et aujourd’hui, c’est au Musée des Beaux-Arts de Montréal, que l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec honore l’académicien-conseil Humberto Pinochet, du titre de maître-académicien.
Monsieur Humberto Pinochet, nous avons le plaisir de vous annoncer qu’à partir de cet instant vous portez le titre mérité et honorable de maître-académicien, c’est à ce titre que vous représenterez dorénavant l’Académie.
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CAROLINE BRUENS : Sur une présentation court métrage : «Parmi les membres de l’Académie, il en est, qui depuis plusieurs années se dévouent à une œuvre humanitaire…Madame Agnès Jorgensen et M. André Chatelain ont été invités à monter sur la scène.
Une murale peinte par des Africains, en Afrique et une murale peinte ici, au Québec, par de jeunes Québécois. Vous avez pu voir dans le court vidéo que tous les enfants du monde se ressemblent. L’Académie ayant suivi la progression de leur démarche et constaté les résultats rapides, positifs et concrets de leur concept : «Peindre un Nouveau Monde» «Painting a new world». J’ai le plaisir de vous décerner «LE PRIX HUMANITÉ…»
M. Chatelain, voulez-vous nous dire quelques mots… MOT D’ANDRÉ CHATELAIN »
Laïus d’andré chatelain qui a remis le premier dépliant de son organisme.
par Louis Bruens
L’Académie compte parmi ses membres une artiste qui, partout où elle récolte de la reconnaissance, des honneurs, des distinctions, des titres et des prix, qu’elle fait rejaillir sur l’Académie. Nous pourrions nous attarder sur son implication, sa générosité et ses qualités d’écoute, mais cette présentation a un tout autre but.
Diane Forest a, une fois encore, remporté le vote de ses pairs et conservé la fidélité du public. La qualité de ses œuvres témoigne de son talent, de sa constance, de son professionnalisme et de sa créativité. Elle est tour à tour, conférencière, professeure et «coach» de peinture, chroniqueuse à titre de spécialiste de la couleur, de la transparence et de la lumière.
Son excellente réputation d’aquarelliste fait oublier qu’elle maîtrise aussi d’autres médiums, dont l’acrylique, le pastel et l’huile. Membre signataire de l'Institut des Arts figuratifs et de la Société canadienne de l'Aquarelle, dont elle a assumé la vice-présidence, en 2007; elle aussi cofondatrice de l'école d'aquarelle de la SCA. Diane Forest a été honorée du titre d'«Artiste de l'Année en 2006».
Diane Forest est reconnue pour sa curiosité, son imagination et son esprit de recherche, ce qui l’a amenée à créer des tableaux en 3 dimensions. Nous savons que les tableaux ne se voient toujours qu’en deux dimensions, pourtant, Diane Forest a réalisé des tableaux en véritable 3D. Malheureusement, l’appareil photographique ne possède qu’un seul objectif et, malgré tous nos essais, il a été, jusqu’ici, impossible de reproduire en photo ou en vidéo les 3 dimensions de ses tableaux.
Madame Diane Forest, nous avons le plaisir de vous annoncer qu’à partir de cet instant vous portez le titre mérité et honorable de maître-académicienne, c’est à ce titre que vous représenterez dorénavant l’Académie.
Les artistes, cités maintenant, furent priés de venir sur la scène.
«Ils faisaient partie des artistes de la relève, et l’Académie les reconnaît officiellement aujourd’hui comme artistes professionnels; ils se sont distingués de multiples façons et sont en nomination pour le Prix Découverte. Je me dois d’attirer l’attention sur le fait que Sonya Michel est reconnue à titre d’artiste professionnelle, bien sûr, mais elle ne participe à aucun concours, car elle assume les fonctions d’adjointe à la direction de l’Académie, depuis plus d’un an.
Ginette Marquis - Sophie Moisan - Christine Morency - Dominique Beauregard - Linda Morin - Daniel P. Simard - Sonya Michel - Vickie Brisson-Bélanger
LOUIS BRUENS : «Artiste en devenir à ses débuts à l’Académie, l’artiste dont je parle est passée en un temps record à la relève; et de la relève, on la retrouve, aujourd’hui, dans la catégorie professionnelle… Pourquoi ? Elle a récemment donné sa démission comme enseignante, pour s’investir à temps plein dans la peinture;
Elle expose, de juin à septembre, une série de tableaux qui représentent les personnages de Fred Pellerin, dans le village bien connu de St-Élie de Caxton.
Un de ses tableaux fera la première de couverture du livre «Bacchus en Canada», ouvrage de Catherine Ferland, aux Éditions Septentrion et aux «Presses de l’université Paris-Sorbonne. Elle exposera ensuite, en France, 15 tableaux sur le sujet de la consommation d’alcool en Nouvelle-France.
On la retrouvera en septembre, en qualité d’artiste invitée, au Happening «Du vent dans les TOILES», tenu sur 3 sites d’expositions à Tadoussac… Cette jeune mère de cinq enfants devient aussi, cette année, présidente du seul symposium organisé en collaboration avec la Société des établissements de plein air du Québec, la «Sépaq»,
aux chutes de la Marmite, à Rivière-à-Pierre, dans la Réserve faunique de Portneuf, dans son village. »
Ce fut au tour de Madame Bonnitta Beauchamp, de la galerie Le Balcon d’Art et de Multi-Art de Saint-Lambert pour nommer et remettre le Prix Denis Beauchamp à la découverte de l’Année.
BONNITTA BEAUCHAMP – LE PRIX DENIS BEAUCHAMP – LE PRIX DÉCOUVERTE
«La direction de La galerie Le Balcon d’Art et Multi-Art de Saint-Lambert est heureuse de remettre une bourse de 1000$, le Prix Denis Beauchamp, à la découverte de l’année de l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec, en lui souhaitant surtout de continuer et de persévérer sur sa formidable lancée.
Le Prix Denis Beauchamp est donc attribué à… SOPHIE MOISAN.»
**********LE PRIX DEMOS (vote du public)
Pour le 2E PRIX DEMOS, les gagnants sont :
Et finalement pour le 1er PRIX DEMOS
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CAROLINE BRUENS : J’attire l’attention Jacques sur Jean-Yves Guindon, ambassadeur régional de l’AIBAQ qui vient d’être honoré de la médaille de l'Ordre de Gatineau, la plus haute distinction accordée par la ville, à toi d’annoncer maintenant l’ambassadeur 2009.
Les prix «AMBASSADEUR RÉGIONAL» – 2009 vont à Danièle Bélanger et Serge Nadeau
Sur Diane Forest, ambassadrice provinciale, dont le fil de presse comporte plus de 28 événements, prix et distinctions et qui se fait un devoir de représenter l’Académie avec des résultats remarquables.
L’AMBASSADEUR PROVINCIAL – 2009 est : FERNAND BRUNELLE
Sur Francine Gravel notre ambassadrice nationale qui s’est mérité lors de « l’Okanagan Arts Awards » dans la dernière catégorie intitulé: " Lifetime Achievement Award " pour sa contribution dans les arts. De plus, en 2008, Francine a été conviée à un déjeuner en l’honneur de Son Altesse Royale, le Prince Philippe de Belgique.
Les prix «AMBASSADEUR NATIONAL» vont à : ISABELLE REGOUT et Car-Di
Sur Charles Carson qui a représenté l’Académie à Séés en France lors d’une remise de médaille d’or, au ArtExpo à New York, son fil de presse compte plus de 150 communiqués.
L’AMBASSADRICE INTERNATIONALE est : URSULA KOFAHL-LAMPRON
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Le maître de cérémonie a longuement expliqué sur une vidéo de présentation des tableaux des candidats au titre d’académiciens en quoi consistait ce titre. « Chaque année, un grand nombre d’artistes-peintres et sculpteurs visent ce titre : ACADÉMICIEN.
Il s’agit là, d’une distinction très particulière, et cet honneur est naturellement convoité par tous les artistes. L’Académie a retenu, au cours de l’année, 34 dossiers de mises en candidatures à ce titre. Le seul fait d’être candidat est déjà une remarquable reconnaissance de la démarche artistique. Mais n’oublions pas, et je le précise, que le candidat à ce titre ne peut se proposer lui-même.
Ce sont ses pairs, des galeristes, des intervenants culturels, ou des collectionneurs, qui soumettent à l’Académie les dossiers d’artistes, obligatoirement accompagnés de lettres de recommandations. Ce sont donc des parrains impliqués dans les arts visuels à divers degrés qui proposent ces candidatures. Les dossiers sont ensuite acheminés au Grand Jury, composé des maîtres-académiciens, pour études, analyses et recommandations. Nous vous faisons connaître aujourd’hui les résultats accordés par les maîtres.
Le parcours et l’implication de l’artiste dans le marché de l’art et sa démarche artistique ont été pris en considération, ainsi que l’application des règles conformes à la réalisation d’œuvres d’art de qualité, que ce soit en art figuratif, semi-figuratif ou non figuratif.
Voici le nom des nouveaux académiciens qui résident Hors-Québec.Puis ce fut au tour des nouveaux académiciens du Québec. Afin de garder un … léger élément de surprise, la direction a pris soin de ne pas révéler les noms des gagnants par ordre alphabétique…
LOUIS BRUENS y est allé d’un petit texte humoristique : Oui, mais la direction, cher ami… a deux mots à dire aux futurs académiciens. Je me dois de vous informer sommairement qu’en acceptant cet honneur et ce titre… vous ne savez pas encore à quoi vous attendre. Nous serons sans pitié et sans cesse derrière vous pour …analyser… comprendre…juger… et vous faire juger… vous aussi à votre tour… pour votre objectivité, votre honnêteté intellectuelle, votre temps accordé à l’Académie… c’est-à-dire une moyenne de 12 heures par jour… aux tâches les plus imprévisibles, les plus ardues… porter de l’eau…cueillir des champignons et le jardinage… c’est important, et puis, les enfants, il faut s’en occuper… et songez aussi aux tournages de films, aux symposiums, à la rédaction d’articles. Je vais en garder un peu pour le reste de l’année.
À vous l’honneur… Caroline et Louis Bruens…
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Puis le Grand Prix Socrate a été présenté. Le Grand Socrate est un prix très prestigieux, accordé uniquement aux académiciens.
Rappelons que Madame Gisèle Rivard a publié récemment un livre intitulé : La perspective artistique, aux éditions Broquet vous pouvez vous procurer ce livre dans toutes les bonnes librairies.
Micheline Caillé - Car-di - Muriel Cayet - Marcel Charest - Linda Croisetière - Yvette Froment - Réjean Gilbert - Michel Giroux - Francine Gravel - Michel Lapensée - Claude Lapierre - Serge Nadeau - Édith Rémy et Gisèle Rivard
MAÎTRE CHARLES CARSON a révélé le Grand Prix Socrate.
CHARLES CARSON : Le Grand Prix Socrate 2009, accompagné de la bourse de 1000$ offerte par la Galerie Richelieu, de Montréal est décerné au sculpteur Réjean Gilbert.
«Voilà un artiste qui part de l’ébénisterie pour atteindre un équilibre des valeurs esthétiques dans la matière. Il use du bois et de la couleur pour conférer à ses œuvres une signature picturale personnelle. Sculpter un meuble ou donner vie à une forme ailée ne le dérange nullement. Le plaisir de cet artiste est d'embellir par des motifs végétaux ou encore géométriques différentes surfaces. Les oiseaux l’inspirent particulièrement pour le dynamisme de leurs mouvements»
Madame Nicole Godin, des galeries Lamoureux-Ritzenhoff, de Montréal est venue sur la scène
pour nommer le GRAND PRIX DE L’ACADÉMIE et remettre au lauréat la bourse de 1000$ offerte par les galeries Lamoureux-Ritzenhoff, de Montréal.
Yvon Chartrand - Brigitte Savoie - Danyèle Bélanger - Claude Lapierre - Florence Dionne - Andrée Vézina - André Chatelain - Claire Marie Gosselin - Danielle Richard -
Suzanne Claveau – Dasil - Car-di - Dinah Angers - Dominique Beauregard - Carole Bonneau - Fernand Brunelle - Monique Trempe - Diane Goyette - Chantal Ouellet et Gilles Paul Esnault
TEXTE ET VIDEO DE PRÉSENTATION DE L’ARTISTE DE L’ANNÉE par Louis Bruens
Le parcours de l’artiste qui vous est actuellement présenté est tout simplement ahurissant. Que ce soit en Amérique du Nord, en Amérique du Sud ou en Europe, les spécialistes, historiens d’art, experts, analystes et galeristes s’accordent pour le mettre à l’honneur, partout où il passe.
Cet artiste s’est distingué à différents titres depuis le dernier Gala.
On ne peut résumer ce que vous voyez à l’écran, car, il s’agit du résultat d’une trentaine d’années d’efforts, de présentations et d’expositions. Il y a plus de vingt ans, j’écrivais une analyse exhaustive de son travail pictural, suite à laquelle d’autres experts en art, au Canada et à travers le monde, ont emboîté le pas.
La brillante analyse du «Carsonisme» proposée dans le FineArt magazine, de New York, en février dernier, permet aux collectionneurs de découvrir une facette que seules, les plumes expérimentées et les regards incisifs de Jamie Ellin Forbes & Victor Bennet Forbes pouvaient révéler.
Christian SORRIANO Président de DROUOT COTATION, expert en Art et en Antiquités, en France, disait, en février dernier :
«Charles Carson a creusé son sillon vers la postérité artistique, car aujourd'hui, on dit : c'est un Carson, comme on dit c'est un Picasso, un Matisse, un Warhol, un Basquiat et tous les autres artistes immortels.»
En 2008, il est médaillé d’or par la ville de Sées, en France, pour son exposition à l’Hôtel de Ville. Suite à une autre exposition, au Château Montferrand, cette fois, l’artiste a été couvert d’éloges par la presse française. Charles Carson a aussi présenté deux expositions solos le même jour; une à la galerie Richelieu de Montréal, et une autre au bien connu Bistro à Champlain, à Ste-Marguerite du lac Masson, chez Monsieur Champlain Charest, collectionneur et connaisseur réputé pour sa cave à vin et son flair en art.
Sa biographie, écrite par Madame Anne Richer, du Journal La Presse, et annoncée lors du dernier gala, est maintenant publiée.
C’est cette carrière, et tous les succès remportés dans le monde depuis le dernier gala, qui font de Charles Carson, l’artiste de l’année – 2009
Avant de terminer cette magnifique soirée, Caroline et moi désirons vous remercier de votre présence ici ce soir. Cela prendrait cinq heures pour remercier tous les membres de l’équipe de l’ACADEMIA XXI, nous voulons qu’ils sachent tous à quel point ils nous furent indispensables et que chaque effort, même le plus minime a eu son importance! Bonsoir à tout le monde et prenez garde sur la route.
Le cristal de la statuette est extrêmement dur et ne contient aucune trace, même infime de plomb. La brillance et le poli haut de gamme de ce cristal sont possibles grâce à la dureté de la matière. Chaque pièce est polie à la main. Le Cristal optique est le même que celui utilisé dans la fabrication des objectifs de caméra et des lentilles et représente un produit haut de gamme, d’une excellence suprême. Il ne contient aucune bulle ou défectuosité. C’est un signe «quali-graph optique».
Merci à Diane Forest, créatrice du logo de l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec qui orne la statuette ACADEMIA – 2009.